Épître au Monarque Roger 1er

En 2011, lors des élections à la FIF, il a déclaré à qui voulait l’entendre ‘’Jamais Sidy Diallo et son équipe ne dirigeront la FIF’’. Au soir des élections, il était k.o débout dans la salle de conférence de la CAISTAB, abasourdi par le résultat des élections. Son équipe dont il était le mentor venait de perdre lamentablement les élections.

Sacrilège ! comment cela a pu arriver à lui, le dinosaure, le faiseur de roi, l’intouchable ? Eh oui, l’homme n’avait pas compris que c’était le commencement de son déclin, la fin de son influence sur le football ivoirien.

Une nouvelle génération venait de naître : celle qui lui tenait tête lors des débats, des réunions, des assemblées générales qu’il a fini par déserter. Et pour se consoler, il ne prévoyait pas plus de 6 mois à tenir pour cette équipe. A l’arrivée, 9 ans de gestion avec des performances inégalées.

Il a essayé par tous les moyens de bloquer le développement des activités, d’empêcher des victoires, en retirant à la sélection les joueurs de l’ASEC. Peine perdue ! A la clé :

-         Une CAN des Cadets sans aucun joueur de l’ASEC

-         Une CAN Senior sans un joueur de l’ASEC

-         Une qualification aux J.O 2020 sans aucun joueur de l’ASEC

Oui, tout cela sans le grand manitou. Que devient-il alors lui qui se considérait incontournable dans le milieu ? Il est rentré dans les rangs, redevenu anonyme, incapable d’aligner les titres de champion de CI, absent des phases finales des coupes africaines…Aucun joueur de talent formé, des recrutements de seconde voire troisième zone de joueurs de Division 3 à l’ASEC.

Dans cette situation, que faire sinon trouver un bouc-émissaire. Comme l’arbre qui voudrait désespérément cacher la forêt, pour cacher ses tares, son incapacité à performer et à impulser un nouveau rayonnement du club, il faut attaquer la FIF à chacune de ses sorties. La stratégie ? Il faut détourner le regard des actionnaires, les supporters du club des résultats médiocres et du recul du club au plan africain. Ceux-ci commencent à se poser des questions sur la gestion du club. Les jeunes dirigeants quittent le navire jaune et noir aussi vite qu’ils l’avaient rejoint. La cause ? Une méthode de gestion cavalière et opaque où les ressources du club se confondaientEn 2011, lors des élections à la FIF, il a déclaré à qui voulait l’entendre ‘’Jamais Sidy Diallo et son équipe ne dirigeront la FIF’’. Au soir des élections, il était k.o débout dans la salle de conférence de la CAISTAB, abasourdi par le résultat des élections. Son équipe dont il était le mentor venait de perdre lamentablement les élections.

Sacrilège ! comment cela a pu arriver à lui, le dinosaure, le faiseur de roi, l’intouchable ? Eh oui, l’homme n’avait pas compris que c’était le commencement de son déclin, la fin de son influence sur le football ivoirie

Une nouvelle génération venait de naître : celle qui lui tenait tête lors des débats, des réunions, des assemblées générales qu’il a fini par déserter. Et pour se consoler, il ne prévoyait pas plus de 6 mois à tenir pour cette équipe. A l’arrivée, 9 ans de gestion avec des performances inégalée

Il a essayé par tous les moyens de bloquer le développement des activités, d’empêcher des victoires, en retirant à la sélection les joueurs de l’ASEC. Peine perdue ! A la clé

-Une CAN des Cadets sans aucun joueur de l’AS

-Une CAN Senior sans un joueur de l’AS

-Une qualification aux J.O 2020 sans aucun joueur de l’AS

Oui, tout cela sans le grand manitou. Que devient-il alors lui qui se considérait incontournable dans le milieu ? Il est rentré dans les rangs, redevenu anonyme, incapable d’aligner les titres de champion de CI, absent des phases finales des coupes africaines…Aucun joueur de talent formé, des recrutements de seconde voire troisième zone de joueurs de Division 3 à l’ASE

Dans cette situation, que faire sinon trouver un bouc-émissaire. Comme l’arbre qui voudrait désespérément cacher la forêt, pour cacher ses tares, son incapacité à performer et à impulser un nouveau rayonnement du club, il faut attaquer la FIF à chacune de ses sorties. La stratégie ? Il faut détourner le regard des actionnaires, les supporters du club des résultats médiocres et du recul du club au plan africain. Ceux-ci commencent à se poser des questions sur la gestion du club. Les jeunes dirigeants quittent le navire jaune et noir aussi vite qu’ils l’avaient rejoint. La cause ? Une méthode de gestion cavalière et opaque où les ressources du club se confondaient tout bonnement à celles de l’homm

Alors, faire partir l’équipe dirigeant par tous les moyens était devenue obsessionnelle d’où même son soutien aux actions de la nébuleuse GX, tentative désespérée et avortée d’annuler des AG, vote sanction contre le quitus. Échec sur toute la ligne d’arrivée. L’homme finit par disparaître des radars, toutes ses accusations et attaques contre la FIF ayant échoué. Suspendu par la FIF, il disparaît des stades jusqu’à ce que le processus électoral lui redonne de la voix. Sa nouvelle action : tout sauf l’ancienne équipe dirigeante qui est restée son cauchemar. Il redoute et met tout en œuvre pour ne plus revivre la résistance de cette nouvelle administration qui se veut juste, transparente et solidaire. Elle a choisi de travailler pour tous dans l’équité, là où lui voulait pour lui seul l’essentiel des ressources de la FI

Pourquoi donc ? par ce que ses charges sont élevées, il n’a plus de sponsors, il n’a plus formé de joueurs de talent pouvant faire l’objet de transfert juteux et les actionnaires ont tourné le dos au club à cause de lui ; ils n’en peuvent plus de subir un homme qui règne en despote qui donne dans l’auto célébration depuis 32 ans plus 4 à venir. 20 ans de disette et de traversée du désert qui ont achevé d'assécher les finances et de momifier le club jaune et noir arborant désormais des mimosas fanées. Drôle de dissonance : d'ouvrier dit spécialisé à looser doublé de cultivateur d'échec

Des jours nouveaux, pensait-il niaisement avec le comité de normalisation ? Il s’accroche un tantinet à ce rêve, il en devient même le ‘’conseiller spécial’’ à visage découvert. Et là, tout ce qu’il dit et veut est exécuté jusqu’à se voir offrir des contrats sur les installations du club. Il se retrouve ainsi dans son rôle, celui qu’il avait voulu avoir à jouer avec Sidy Diallo et son équipe. Ce qui ne fut pas possible, malheureusement pour lui, heureusement pour le football ivoirie

Sur le théâtre des opérations, que constate-t-il ? L’équipe dirigeante sortante a toujours le soutien de la majorité des clubs et des groupements d’intérêts. Les actions de déstabilisation ou de débauchage ne prospèrent guère. Que faire alors ?, se convaincre que son cauchemar ne reviendra plus pour le hanter, manœuvrer pour que rien ne puisse freiner et faire barrage à son appétit vorac

Mais la donne a changé dans le monde du football ivoirien aujourd’hui : plus personne ne le prendra en otage, aucun dirigeant ne se l’appropriera pour en faire sa propre propagande, un instrument de domination de son club encore moins un levier de chantage. Le combat de la résistance aura bel et bien lieu pour sauver les acquis et protéger ce football qui n’a que faire des ‘’One man shows’’, des rêveries d’un super président solitaire. Plutôt de la confrontation des idées, plutôt de la mutualisation des intelligences pour émerger un football moderne et fort. Et si le rêve est permis, le réaliser est une tout autre affaire. Qu’à cela ne tienne, le cauchemar de Maître Roger Ouégnin perdurera longtemps encore !e.n.s.F.e.C.ECECEC :s.n. tout bonnement à celles de l’homme.

Alors, faire partir l’équipe dirigeant par tous les moyens était devenue obsessionnelle d’où même son soutien aux actions de la nébuleuse GX, tentative désespérée et avortée d’annuler des AG, vote sanction contre le quitus. Echec sur toute la ligne d’arrivée. L’homme finit par disparaître des radars, toutes ses accusations et attaques contre la FIF ayant échoué. Suspendu par la FIF, il disparaît des stades jusqu’à ce que le processus électoral lui redonne de la voix. Sa nouvelle action : tout sauf l’ancienne équipe dirigeante qui est restée son cauchemar. Il redoute et met tout en œuvre pour ne plus revivre la résistance de cette nouvelle administration qui se veut juste, transparente et solidaire. Elle a choisi de travailler pour tous dans l’équité, là où lui voulait pour lui seul l’essentiel des ressources de la FIF.

Pourquoi donc ? par ce que ses charges sont élevées, il n’a plus de sponsors, il n’a plus formé de joueurs de talent pouvant faire l’objet de transfert juteux et les actionnaires ont tourné le dos au club à cause de lui ; ils n’en peuvent plus de subir un homme qui règne en despote qui donne dans l’auto célébration depuis 32 ans plus 4 à venir. 20 ans de disette et de traversée du désert qui ont achevé d'assécher les finances et de momifier le club jaune et noir arborant désormais des mimosas fanées. Drôle de dissonance : d'ouvrier dit spécialisé à looser doublé de cultivateur d'échecs.

Des jours nouveaux, pensait-il niaisement avec le comité de normalisation ? Il s’accroche un tantinet à ce rêve, il en devient même le ‘’conseiller spécial’’ à visage découvert. Et là, tout ce qu’il dit et veut est exécuté jusqu’à se voir offrir des contrats sur les installations du club. Il se retrouve ainsi dans son rôle, celui qu’il avait voulu avoir à jouer avec Sidy Diallo et son équipe. Ce qui ne fut pas possible, malheureusement pour lui, heureusement pour le football ivoirien.

Sur le théâtre des opérations, que constate-t-il ? L’équipe dirigeante sortante a toujours le soutien de la majorité des clubs et des groupements d’intérêts. Les actions de déstabilisation ou de débauchage ne prospèrent guère. Que faire alors ?, se convaincre que son cauchemar ne reviendra plus pour le hanter, manœuvrer pour que rien ne puisse freiner et faire barrage à son appétit vorace.

Mais la donne a changé dans le monde du football ivoirien aujourd’hui : plus personne ne le prendra en otage, aucun dirigeant ne se l’appropriera pour en faire sa propre propagande, un instrument de domination de son club encore moins un levier de chantage. Le combat de la résistance aura bel et bien lieu pour sauver les acquis et protéger ce football qui n’a que faire des ‘’One man shows’’, des rêveries d’un super président solitaire. Plutôt de la confrontation des idées, plutôt de la mutualisation des intelligences pour émerger un football moderne et fort. Et si le rêve est permis, le réaliser est une tout autre affaire. Qu’à cela ne tienne, le cauchemar de Maître Roger Ouégnin perdurera longtemps encore !

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