Par son choix scandaleux, la patronne du Comité exécutif non élu de la faîtière de la discipline reine a réduit les chances de la Côte d'Ivoire de remporter une médaille à Tokyo. 

Par la seule volonté de Gabala, l'équipe olympique de Côte d'Ivoire n'a pu répondre à l'invitation du Japon qui lui aurait permis de disputer 2 matches amicaux contre le pays organisateur des JO et deux autres rencontres face à la Corée. 

Devant l'incapacité des Ivoiriens à répondre favorablement à l'invitation des Japonais, ces derniers se sont tournés vers le Ghana.

Par ailleurs, il faut noter que tous les frais de séjour des Éléphants au pays du soleil-Levant étaient pris en charge par  leurs hôtes. Cerise sur le gâteau, Max Gradel et ses coéquipiers devaient empocher la somme de 50.000 euros comme primes pour leur opposition contre le Japon.

Sous  le fallacieux prétexte de ne pas utiliser les 400 millions Fcfa, mis à la disposition de la FIF pour la préparation des olympiques ivoiriens pour les JO Tokyo 2020, Mariam Dao Gabala les a empêchés d'aller au Japon pour y affronter la sélection locale et la Corée. 

On comprend maintenant pourquoi la présidente du CN-FIF s'est comportée de la sorte. C'était pour prendre ces 400 millions Fcfa, destinés à la préparation des Éléphants U23,  pour financer la Ligue 2. 

Avec une préparation faite en 10 jours, les vice-champions de la CAN des moins de 23 ans, au Caire, en Égypte,  en 2019, sont sortis vivants de la poule de la mort en tenant en échec le Brésil, le tenant du titre, et l'Allemagne, vice-championne. Imaginez un seul instant que Gabala avait permis aux Orange-Blanc-Vert de se préparer au Japon et cela pendant au moins un mois, les Ivoiriens allaient gagner au moins la médaille de bronze du tournoi de football des JO Tokyo 2020.