Africa sports : Bakayoko Capit parle 

Pour ne pas qu’on lui tienne rigueur d’avoir gardé le silence alors que se joue l’avenir de l’Africa Sports, Bakayoko Capit a décidé de sortir de sa réserve et de dire sa part de vérité. 

Membre de l’administration provisoire qui a conduit le processus électoral de 2014 au sein du club vert et rouge, son argumentaire tourne autour de la validité et de l’application des textes de l’association Africa Sports d’Abidjan. 

« Je suis un expert. Je suis un responsable. Un expert n’a pas de camp. Je suis dans le questionnement, et non dans le jugement », assène-t-il. 

 

Et de relever : « Il ne faut pas confondre un supporter et un membre d’un club. Le membre s’engage pour l’association. Il paye un droit d’adhésion et s’acquitte de ses cotisations. Il participe à la prise de décision. Le supporter, lui, est un simple consommateur des produits du club. S’il veut participer à la prise de décision, il s’engage pour devenir membre en payant son droit d’adhésion et ses cotisations ».

 

Puis, Bakayoko Capit met le pied dans le plat : « Quand on me dit qu’une assemblée générale est convoquée, la première question que je me pose c’est : qui convoque l’assemblée générale ? Un président de section d’une association ne peut pas convoquer l’assemblée générale de l’association »

Et l’expert de prévenir : « Quand j’entends dire « mettons les textes de côté, il faut avancer », je dis : ok, faites comme vous voulez. Mais, si on met les textes de côté aujourd’hui, pourquoi ne les mettrait-on pas de côté demain ? La stabilité est le gage du succès d’une organisation. Et cette stabilité repose sur l’application des textes. Il faut savoir se projeter pour aller loin ».

Pour ne pas qu’on lui tienne rigueur d’avoir gardé le silence alors que se joue l’avenir de l’Africa Sports, Bakayoko Capit a décidé de sortir de sa réserve et de dire sa part de vérité. 

 

Membre de l’administration provisoire qui a conduit le processus électoral de 2014 au sein du club vert et rouge, son argumentaire tourne autour de la validité et de l’application des textes de l’association Africa Sports d’Abidjan. 

« Je suis un expert. Je suis un responsable. Un expert n’a pas de camp. Je suis dans le questionnement, et non dans le jugement », assène-t-il.

 

Et de relever : « Il ne faut pas confondre un supporter et un membre d’un club. Le membre s’engage pour l’association. Il paye un droit d’adhésion et s’acquitte de ses cotisations. Il participe à la prise de décision. 

 

Le supporter, lui, est un simple consommateur des produits du club. S’il veut participer à la prise de décision, il s’engage pour devenir membre en payant son droit d’adhésion et ses cotisations ».

Puis, Bakayoko Capit met le pied dans le plat : « Quand on me dit qu’une assemblée générale est convoquée, la première question que je me pose c’est : qui convoque l’assemblée générale ? Un président de section d’une association ne peut pas convoquer l’assemblée générale de l’association »

 

Et l’expert de prévenir : « Quand j’entends dire « mettons les textes de côté, il faut avancer », je dis : ok, faites comme vous voulez. Mais, si on met les textes de côté aujourd’hui, pourquoi ne les mettrait-on pas de côté demain ? La stabilité est le gage du succès d’une organisation. Et cette stabilité repose sur l’application des textes. Il faut savoir se projeter pour aller loin ».

 

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