Quoi de plus normal puisqu'elle est la patronne du Comité exécutif non élu de la FIF. Mais, à la vérité, beaucoup d'Ivoiriens l'ignorent, la première responsable du CN-FIF mènent des actions qui ne permettent pas aux Éléphants d'évoluer dans les meilleures conditions. Par conséquent, d'atteindre l'objectif de se  qualifier pour le Mondial 2022. En effet, pour ceux qui ne le sauraient pas, le CONOR a pris des décisions démotivantes à l'encontre du bien-être de Serge Aurier et de ses coéquipiers, et ce, avant le début des éliminatoires de la Coupe du monde. Il s'agit de la suppression de leurs perdiems, de leurs primes et le refus d'augmenter leurs primes pour les qualifications du Mondial 2022.

Après une fronde des joueurs, la présidente du CONOR n'est plus parvenue à supprimer leurs primes. Ce qui n'a été le cas de certains membres de l'encadrement technique des Orange-Blanc-Vert qui avaient vu leurs primes  réduites aux 2/3.

 Il a fallu l'intervention du chef de l'Etat, Alassane Ouattara, pour mettre fin à cette affaire de primes au sein de la sélection de Côte d'Ivoire où tous les membres sont depuis le mois de septembre logés à la même enseigne.

Si Mariam Dao Gabala voulait vraiment que les Éléphants se qualifient pour la prochaine Coupe du monde, qui se déroulera au Qatar, elle allait créer les conditions pour motiver Patrice Beaumelle et ses poulains en leur fixant des primes d'objectif. Au lieu de cela, elle a posé des actes qui pourrissaient les vestiaires des Éléphants. Par ailleurs, quand on veut vraiment que l'équipe de Côte d'Ivoire obtienne son ticket pour le Mondial qatari, on ne prive pas son sélectionneur de deux mois de salaire et on ne refuse pas de payer son loyer.

Depuis l'épisode où elle voulait supprimer les primes des champions d'Afrique 2015, ces derniers ne veulent plus avoir des contacts avec la première responsable du CONOR. Pire, ils refusent de lui soumettre leurs problèmes. Ils s'adressent directement au ministre de la Promotion des Sports et du Développement de l’Economie Sportive, Paulin Danho, où au président de la République, Alassane Ouattara.

C'est cela la réalité que cache Mariam Dao Gabala.