Lors des deux mandats du défunt président de la Fédération Ivoirienne Football (FIF), Sidy Diallo, le football ivoirien a enregistré de belles performances. L'ancien locataire de la maison de verre de Treichville a remporté deux CAN, à savoir celle des  séniors en 2015 et des cadets en 2013). Il a également obtenu une place de vice-champion d'Afrique à l'occasion de la CAN 2019 des U23 qualificative pour les J.O. de Tokyo. Il y a quelques semaines, l'équipe de Côte d'Ivoire cadette a eu un succès retentissant au tournoi UFOA-B. Elle sera présente, au mois de mars prochain, au Maroc, pour y disputer la CAN de sa catégorie. 

Les résultats auraient été meilleurs si le Comité exécutif sortant de la faîtière de la discipline reine avait travaillé dans un climat apaisé, et ce, sans la naissance d'une opposition destructrice. 

On semble oublier que les moyens financiers des clubs ont été revalorisés conséquemment sous la présidence de feu Sidy Diallo.  

La crise du ballon rond local est liée à des problèmes de personne. Au point que certains dirigeants de clubs, ces derniers se reconnaîtront, ont refusé de participer aux obsèques de l'enfant de Djékanou.  Preuve que le football ivoirien est malade de la haine de certains de ses acteurs. 

 Par ailleurs, les employeurs des détracteurs des dirigeants fédéraux ont pris part aux Assemblées générales de l'institution fédérale où leurs patrons sont sortis de la salle étourdis par la qualité du travail accompli par l'équipe de Sidy Diallo.  

Le vrai problème des éternels négateurs, c'est que leur mentor a été  dompté. Ce dernier ne peut  plus régner sur le  football ivoirien.  

Nous rappelons  que leur  patron n'a pas été suspendu parce qu'il a demandé une assurance, mais plutôt parce qu'il a tenu des propos haineux et raciste à l'endroit d'un officiel du football. 

Avec le Comité exécutif sortant, finis les passe droits et autres arrangements de calendrier et programmation des matches. Finis aussi les dessous de table que le boss encaissait nuitamment. 

Pour rappel, la rigueur de la gestion de Sidy Diallo et de ses collaborateurs a permis d'augmenter les subventions et de faire la meilleure promotion de la Ligue 1, de former plus de cadres techniques, etc. 

Pour conclure, l'ex-Comex est un exemple de rigueur avec ses différents quitus obtenus lors des Assemblées générales.