Afrobasket Rwanda 2021 : Nisré Mimi Zouzoua repond à matchmali.ml

Révélation de l’Afrobasket 2021 avec les Éléphants, Nisré Mimi Zouzoua ne cache pas sa joie de porter le maillot orange-blanc-vert. A 25 ans pour 1,87m, le natif de Brockton, dans le Massachussetts (USA), a levé un coin de voile sur ses objectifs avec les Éléphants juste avant de s’envoler pour le pays de l’oncle Sam.

                          

Quelles sont tes impressions après l’Afrobasket ?

Je suis heureux de la médaille d’Argent que nous avons remportée. C’est vrai tous avions souhaité l’Or mais nous ne crachons pas sur l’Argent. Je voudrais féliciter tous mes amis et tout le staff pour cette performance. Nous espérons rééditer cela et même faire plus la prochaine fois. Je dis merci aux Ivoiriens pour leur soutien à chacun de nos matches.

Comment ressens-tu cette adoption des Ivoiriens ?

Cela me fait plaisir. Cependant, je ne suis pas le seul, c’est toute une équipe. Et sans mes amis je ne peux réaliser des performances. J’ai beaucoup apprécié cette ferveur autour de l’équipe à chacune de nos sorties. Je voudrais donc marquer ma reconnaissance vis-à-vis des Ivoiriens.

C’est la première fois que tu viens en Côte d’Ivoire…    

Non, cela fait la quatrième fois que je viens en Côte d’Ivoire. Je précise que mon père est Ivoirien Bété. Je venais pour des vacances mais cette fois-ci je vis une autre expérience. Je suis fier d’être Ivoirien, de jouer avec les Éléphants et j’aime la Côte d’Ivoire. Mon objectif est que nous nous qualifions pour le Mondial et nous soyons champions d’Afrique lors du prochain Afrobasket.

Que diras- tu à ceux qui hésitent à intégrer la sélection nationale ?

Ils ont leurs raisons que personne ne sait. Mais je leur dirais, si j’ai l’occasion de les rencontrer, de venir. C’est vrai il y a des difficultés mais la sélection est une vraie famille et l’ambiance est bonne. En somme, c’est une bande joyeuse soucieuse de faire flotter haut le drapeau ivoirien partout dans le monde.

Quel regard portes-tu sur la Fédération ?

Pour moi, les responsables fédéraux effectuent un bon travail. J’ai pu constater une belle organisation. Un jeune président de fédération avec lequel nous communiquons beaucoup. Et cela nous a beaucoup aidés à bâtir un esprit d’équipe. Je voudrais dire merci au Manager Général Carlo Viera et au coach Natxo Lezkano qui ont abattu un gros travail grâce à leurs expériences.

 

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