Mariam Dao Gabala, la présidente du CONOR, a détourné une ligne de crédit d'une banque partenaire de la FIF pour ouvrir un nouveau compte dans une banque où travaille une de ses amies.
La première banque partenaire a saisi le siège de la FIF, en hypothèque, sous réserve de se faire rembourser ou mettre le siège de l'institution fédérale en vente.
il faut savoir que quand on ouvre une ligne de crédit dans une banque partenaire, cette banque finance des activités, et seulement la mise à disposition du fonds relatif à ces activités vient compenser le financement de la banque.
C'est une faute grave de gestion de la part de la patronne du CN-FIF que de ''détourner'' une ligne de crédit d'une banque X vers une autre banque sans prendre le soin de rembourser le financement engagé par la première banque. Dans ce cas, elle a tout à fait le droit de saisir ou de lever une hypothèque sur le bien immeuble, en l'occurrence le siège de la FIF.
Ici, il s'agit de NSIA Banque qui a financé des activités de la FIF, et le fonds qui devait servir à rembourser ce financement, Mariam Dao Gabala l'a détourné pour le placer dans un nouveau compte bancaire dans une banque d'une de ses amies. Ainsi, la banque, se sentant flouée par Gabala, a décidé de se faire payer.
Cela n'a rien à voir avec l'ex Comité exécutif ni sa gestion. C'est l'irresponsabilité de Mariam Dao Gabala qui a créé cette situation déplorable et hautement nocif pour la crédibilité d'une institution comme la FIF auprès des banques.
Cette faute lourde de Dao Gabala et son anormalité risque de compromettre la bonne collaboration qui existait entre la FIF et ses banques