Nous savons depuis, la nomination du comité de normalisation pour la FIF, que les partisans du candidat à l'élection à la présidence de l'organe de gestion du ballon rond local, Didier Drogba, soutiennent tous, aveuglément, les actions non statutaires, de la présidente du CONOR, Mariam Dao Gabala, Et ce, parce qu'ils croient que cette dernière a été mise en mission par la FIFA pour installer l'ancien capitaine des Éléphants à la maison de verre de Treichville.
Comme elle l'a fait à la CAF en faisant élire, Patrice Motsepe, par acclamation. Malgré l'échec de l'organisation basée, à Zurich, en Suisse, au Cameroun où Samuel Eto'o, le double champion d'Afrique et de la Ligue des champions, a battu le poulain de Gianni Infantino et de Patrice Motsepe, les drogbaphiles espèrent, naïvement, que la patronne du CN-FIF pourra réussir à offrir la présidence de l'institution fédérale à Didier Drogba. Pour cette unique raison, ils acceptent toutes les actions illégales qu'elle pose.
Non, Mesdames et Messieurs les drogbaphiles, votre héroïne, Mariam Dao Gabala, dont la mission prendra fin bientôt, sans avoir fait élire l'ancien buteur de Chelsea à la tête de la FIF, ne peut pas bloquer les chèques des clubs. C'est un droit que de recevoir les droits TV et les subventions.
Pour rappel, aucun membre actif de la faîtière de la discipline reine, nous répétons bien aucun membre, ne peut être sanctionné pour absence à une quelconque réunion ou à une AG. Aucun texte de la Fédération de football ne l'autorise.