'Mesdames et messieurs, vous pouvez me traiter de tous les noms d'oiseaux, vous le faites depuis plus d'un an, mais je ne changerai jamais de cap.  

Pour ce qui est de la course à la présidence de la FIF, un tri est en train de s’opérer naturellement. On n’a pas besoin de porter des lunettes loupes grossissantes pour voir ce qui se passe dans le milieu du football ivoirien. 

En effet, depuis l'annulation du processus électoral devant désigner le prochain président de la faîtière de la discipline reine, on constate une chose: Sory Diabaté continue de travailler pour le ballon rond local. Pendant ce temps, l'autre, l'ami de Gianni  Infantino, fait du tourisme. 

C'est un secret de polichinelle que de dire que le porteur du projet'' Pour la grandeur du football ivoirien'' est resté en contact avec les acteurs du sport roi, il ne les a jamais quittés, et ce, depuis 19 ans. Chaque jour, partout où le besoin se fait sentir, Sory Diabaté contribue au rayonnement de la discipline reine. Pour preuve, il est à toutes les rencontres footballistiques locales. Il parcourt la Côte d'Ivoire pour servir le football. 

A l'opposé, son adversaire, le précurseur de la ''Renaissance'', c'est juste un jeu de mots, est aux abonnés absents, la plupart du temps, où il y a des évènements liés au ballon rond local. Il préfère être là où ses intérêts personnels sont en jeu. Comment peut-on diriger une association qui appartient aux acteurs du football ivoirien et ne pas se trouver aux côtés de ces derniers. C'est à n'y rien comprendre. 

A la vérité, depuis que le processus électoral de la Fédération de football a été annulé et le comité de normalisation installé, Sory Diabaté multiplie les rencontres avec les dirigeants de clubs, parraine de nombreuses compétitions à l'intérieur du pays et est présent aux rendez-vous relatifs au développement du ballon rond local. 

A l'analyse de ce qui précède, comme les oiseaux du même plumage volent ensemble, il ne faudra pas s'étonner que les présidents de clubs, ils l'ont déjà fait en lui accordant 45 parrainages, portent leur choix, lors du scrutin à venir de la FIF, sur celui qu'ils reconnaissent comme l'un des leurs, à savoir l'enfant de Bingerville, Sory Diabaté."a conclu l'ex vice président du comité mis sous normalisation.