C’est une autre polémique qui secoue encore l’arbitrage africain. Alors qu’on n’en a pas fini avec la polémique née de l’arbitrage du match retour Algérie-Cameroun, à Blida, assuré par le sifflet gambien Bakary Gassama, une autre polémique est enregistrée.
Cette fois-ci, c’est en quart de finale de la Ligue des champions africaine de la CAF entre le Raja de Casablanca et Al Ahly du Caire. Au cœur de la polémique il y a l’arbitre congolais Jean Jacques Ndala. Il a accordé un penalty à Al Ahly alors que la faute n’était pas évidente. Sa décision va faire reparler dans les prochains jours et relancer encore une fois les polémiques sur l’arbitrage africain. Vu
Jean Jacques Ndala a sifflé dès la 10e minute de jeu un pénalty en faveur de l’Al Ahly pour une faute supposée de main du défenseur Rajaoui. En réalité, le ballon a été touché par la cuisse du défenseur. Une erreur d’appréciation claire que l’arbitre congolais ne va pas corriger en dépit des interpellations de la VAR.
En effet, les arbitres assignés à la vidéo surveillance ont interpellé l’arbitre Jean Jacques Ndala qui, après avoir visionné la séquence, ne s’est pas ravisé et a persisté dans sa décision d’accorder un pénalty.
Le pénalty sera transformé. Au final, les égyptiens d’Al Ahly vont s’imposer 2-1 face au marocains du Raja de Casablanca dans ce quart de finale aller.