Il y a bien sûr Pelé, puis ensuite il y a Maradona, mais après il y a eu Ronaldo.
Je jouais au Milan quand lui jouait à l'Inter. La seule fois où j'ai vu Paolo Maldini préoccupé, c'est quand on a joué contre Ronaldo. Il me disait tout le temps : "Marcel reste à côté de moi, j'ai besoin de ton aide. Nous devons être deux sur lui. S'il prend la balle il va s'échapper et on le revoit plus". Ronaldo était fantastique, un magicien. On restait tous bouche bée quand il touchait le ballon. Le stade entier retenait son souffle. C'était la première fois que je voyais ça.
«…Il n’a vraiment pas eu de chances avec ses blessures à répétition. Probablement, elles lui ont enlevé 70% de ses capacités. Sans blessures, il aurait fait ce qu'il voulait.» C'est l'avis du franco ghanéen, ancien défenseur de Chelsea FC international de l'équipe de France.