Mariam Dao Gabala  oublie le sens de l'expression "tenir parole"

La parole est sacrée. Elle fait et défait. Mais pour conserver son fauteuil de présidente du comité de normalisation pour la FIF, Mariam Dao Gabala oublie le sens de l'expression "tenir parole".

En effet, la patronne du CN-FIF, en quelques mois, est devenue la reine des revirements et surtout des fausses promesses.

Avec elle, il y a "paroles, paroles et paroles". Car, elle entraîne les acteurs du football ivoirien et même le président de la République, Alassane Ouattara, dans l'univers répugnant   des fausses promesses.

Moins d'un mois après avoir rencontré l'actuel locataire du palais présidentiel d'Abidjan-Plateau, après lui avoir annoncé, le mardi 26 octobre 2021, qu'elle allait organiser l'élection du président de la FIF, le 20 décembre prochain, la présidente du CONOR dit finalement que le scrutin ne pourra plus se tenir à cette date.

 

Sur le plateau de l'émission "La Grande Team", sur La 3, elle avait juré sur son honneur qu'elle ouvrirait le processus de désignation du successeur du défunt président de la  faîtière de la discipline reine, Sidy Diallo, au mois de décembre. 

Hier mardi 23 novembre 2021, lors d'une conférence de presse, elle a dit le contraire.

 

A cause de  Mariam Dao Gabala, on ne croit plus au respect de la parole donnée. Sa promesse est devenue un mensonge. Cela entache une fois de plus sa crédibilité. Une nouvelle preuve qu'elle a manqué à sa parole d'organiser l'élection à la présidence de l'organe de gestion du ballon rond local annoncée à plusieurs reprises, et aussi devant le chef de l'Etat ivoirien, Alassane Ouattara.

Alors que la patronne du CN-FIF a fait la promesse d'aller jusqu'au bout en ce qui concerne  les finances de la FIF, car la FIFA ne tolère pas la mauvaise gouvernance, elle-même n'est pas irréprochable.

 

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