La logique illogique de Mariam Dao Gabala.
C’est une tradition à la FIF. Les membres de l’encadrement technique des Eléphants, qui ont un contrat de travail avec l’organe de gestion de la maison de verre de Treichville, ont toujours perçu des perdiems lorsqu’ils sortent de la Côte d’Ivoire et sont en mission avec l’équipe de Côte d’Ivoire.
Et cela, à l’occasion des éliminatoires ou des phases finales des compétitions internationales. En effet, lors des qualifications du Mondial 2022, ces derniers ont eu droit à leurs perdiems, dont le montant est de 75.000 mille Fcfa par jour.
Si lors des éliminatoires de la Coupe du monde, les employés de l’institution fédérale, qui travaillent pour la sélection de côte d’Ivoire ont perçu des perdiems, il est, donc, incompréhensible, que pour la fête du football continental, qui a lieu au Cameroun, à laquelle ont participé les Orange-Blanc-Vert, ont puisse priver une partie des membres du staff technique de leurs perdiems. Pendant ce temps, les collaborateurs expatriés du sélectionneur des champions d’Afrique 2015, Patrice Beaumelle, ont touché 400 euros par jour comme perdiems.
Par ailleurs, la patronne du CN-FIF, Mariam Dao Gabala, qui a un salaire en sa qualité de patronne du CONOR, s’est vue virer sur son compte de l’argent pour sa mission à la CAN avec les Eléphants. Il faut également rappeler que les invités de la présidente du comité de normalisation, au Cameroun, ont eux aussi eu droit aux équipements portés par les membres de l’encadrement technique de la sélection de Côte d’Ivoire et sont passés à la caisse.